Quelle lecture faites-vous de l’évolution du marché et la proposition de CSI ?
Alan : Au début, il était question de se spécialiser vers une offre complètes de services d'infogérance, car les clients cherchaient à sous-traiter l’exploitation d’un plus grand nombre de leurs environnements informatiques clés. Au moment où MML a investi, l’accent a été mis sur le cloud et sur la création d’une offre multiplateforme capable de migrer et d’exécuter en toute sécurité les éléments complexes et essentiels à partir du cloud privé ou public. Ce service reste notre cœur de métier, mais parallèlement, nous avons réalisé un excellent travail d’amélioration de nos capacités de modernisation alors que les clients n’ont de cesse de demander des innovations numériques et un fonctionnement flexible.
Qu’est-ce qui vous a attiré chez CSI ?
Simon : Le marché du cloud et des services infogérés est énorme mais relativement bondé de fournisseurs, d’où l’importance de se démarquer. J’ai été attiré par CSI en raison de sa spécialisation et de ses références dans les services cloud et de données axés sur des environnements très complexes. Par exemple, cette entreprise a fait ses preuves dans la migration et l’exécution d’applications bancaires réglementées dans le cloud public, en partenariat avec les principaux FS et ISV du secteur de la santé pour faire évoluer les anciennes applications des entreprises clientes, vers des solutions SAAS et concevoir et exécuter la solution d’infrastructure pour développer l’un des vaccins contre la COVID.
Qu’est-ce qui vous rend enthousiaste quant à l’avenir ?
Simon : En bref, tirer le meilleur parti des opportunités qui s’offrent à nous. C’est très important étant donné le niveau de migration et de modernisation à franchir dans nos principaux domaines d’expertise en matière d’applications et d’infrastructures, ainsi que dans nos relations avec les éditeurs de logiciels indépendants et dans notre partenariat stratégique avec IBM, où nous sommes tout à fait en phase avec le programme de modernisation de Red Hat. C’est d’autant plus nécessaire au regard de la taille et de la fragmentation de notre marché principal au Royaume-Uni et aux États-Unis.