Comment la situation a-t-elle évolué chez MML depuis votre arrivée en 2007 ?
Bien que la taille de nos fonds ait augmenté au cours de cette période, notre approche de l’investissement est restée constante : nous travaillons aux côtés des équipes de direction en tant que véritable partenaire, en proposant des transactions adaptées à leurs besoins et en servant de catalyseur pour parvenir à la prochaine phase de croissance d’une entreprise. L’équipe s’est progressivement élargie, et il a été formidable de voir les talents grandir et se développer au sein de notre entreprise.
Y a-t-il une opération dont vous vous souvenez en particulier ?
Notre investissements dans FrontierMEDEX a été une véritable montagne russe. Nous avons négocié une fusion avec une cible potentielle aux Etats-Unis en même temps que nous réalisions notre investissement dans l’entreprise britannique. La fusion a été finalisée trois mois après notre investissement initial. À peine avions-nous changé de marque que l’entreprise a été approchée par un investisseur stratégique qui a racheté l’entreprise plus tard dans l’année. Nous avons passé 18 mois a négocier des transactions presqu'en continu.
À quoi ressemble la vie en dehors de MML ?
Je suis en général sur le terrain de golf ou sur la ligne de touche pour regarder mes enfants faire du sport.